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    Vous êtes coiffeur, boucher, garagiste, créateur de bijoux…Vous vous interrogez sur votre futur retraite. Voici l’essentiel à connaitre pour comprendre le régime de retraite des artisans.

    L’évolution du régime de retraite des artisans

    En 2013 a été effective la fusion du régime des artisans (Cancava) et de celui des commerçants (Organic), pour donner naissance au Régime Sociale des Indépendant (RSI). Les caisses RSI ont disparu en 2018, remplacées par la Sécurité Sociale des Indépendants (SSI). Le régime retraite des artisans se rapprochent de plus en plus de celui des salariés. Cependant, le calcul de leur retraite complémentaire est moins favorable. Pour maintenir leur niveau de vie après la cessation de leur activité, ils sont donc dans l’obligation de souscrire une épargne retraite type PER (Plan d’Epargne Retraite). Ce PER est venu remplacer les contrats de retraite loi Madelin et comme ces contrats, ils offrent des avantages fiscaux aux artisans.

    Les cotisations retraite de l’artisan

    Les cotisations des artisans au régime de base sont calculées, comme les salariés, au taux de 17,75%. Ce taux est ramené à 0,6% pour la part de revenu dépassant le PASS (Plafond Annuel de la Sécurité Sociale). En 2021, ce plafond est fixé à 41 136 €.

    Pour leur retraite complémentaire, les taux sont fortement réduits (7 ou 8%) et l’assiette est plafonnée à 4 fois le PASS.

    Les conditions de départ à la retraite de l’artisan

    Les conditions de départ à la retraite de l’artisan sont désormais alignées sur celles des salariés :

    • l’âge légal du départ à la retraite est de 62 ans avec possibilité, sous conditions, de l’avancer à 55 ans,
    • l’âge de départ à taux plein pour un artisan n’ayant pas assez cotisé est fixé à 67 ans,
    • le nombre de trimestres à valider dépend de l’année de naissance et va de 160 à 172 trimestres.

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